Manuel Tamayo y Baus

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Manuel Tamayo y Baus
Biographie
Naissance
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MadridVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 68 ans)
MadridVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom de naissance
Manuel Tamayo y BausVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Joaquín EstébanezVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
espagnoleVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Instituto San Isidro (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Bibliothécaire, écrivain, dramaturgeVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Académie royale espagnole
Corps universitaire des archivistes, bibliothécaires et archéologues (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Genre artistique
signature de Manuel Tamayo y Baus
Signature

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Manuel Tamayo y Baus, né à Madrid en Espagne le et mort le dans la même ville, est un dramaturge espagnol.

Biographie

Fils d'acteurs, il arrange, à l'âge de 10 ans, pour la compagnie où jouent ses parents, une Geneviève de Brabant[1].

Il est employé au Ministère de l'Intérieur, puis bibliothécaire de l'Institut de San Isodoro à Madrid, enfin directeur de la Bibliothèque nationale espagnole.

Tamayo a été candidat à la députation carliste pour Santo Domingo de la Calzada en 1871 et Cervera en 1872.

Œuvres

  • Le Cinq-Août (1848).
  • Angela en prose, imitée de Cabale et Amour de Schiller (1852).
  • Virginia, tragédie en vers, d'après Vittorio Alfieri, en 1855.
  • Fille et Mère, drame en prose (1855).
  • La Boule de neige, drame en vers (1856).
  • Le Positif, arrangement du Duc Job de Laya.
  • Une affaire d'honneur, drame en prose (1863).
  • De la parole à l'action, proverbe (1863).
  • Un drame nouveau, drame en prose (1867).
  • Point de mal sans bien, comédie en prose (1868).
  • Les honnêtes gens, drame en prose (1870)

Notes et références

  1. Larousse du XXe siècle, t. 6, Paris, Librairie Larousse, , 1146 p., p. 582.

Bibliographie

  • Boris de Tannenberg, Un dramaturge espagnol : M. Tamayo y Baús, Paris, Perrin, , 102 p. (lire en ligne).

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