Georges Callot
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Georges Callot
| Naissance | |
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| Décès | |
| Nationalité | française  |
| Activités | Peintre, artiste visuel |
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Georges Callot né à Paris le [1] et mort à Paris 9e le [2] est un peintre et professeur d'art français.
Connu pour ses nus et ses sujets allégorique ou de genre, il a aussi travaillé comme décorateur.
Biographie
Georges Callot naît à Paris en 1857[3].
Il étudie à l'École des arts décoratifs puis aux Beaux-Arts de Paris auprès de Louis Adan[3],[4].
Callot participe pour la première fois au Salon en 1877[3] et y obtient une médaille de troisième classe en 1882 puis une de deuxième classe en 1888[4].
En 1890, il entre à la Société nationale des beaux-arts en tant que membre[5].
Callot entreprend un voyage aux États-Unis au départ du Havre, accompagné de l'artiste Eugène Dufriche. Il arrive à New York le [6].
De retour en France, Callot donne des cours à l'Académie Delécluse, une école d'art de type atelier connue pour être particulièrement inclusive avec les femmes, dont il est l'un des principaux instructeurs[7].
En 1901, Callot expose à la Royal Academy de Londres[6].
Georges Callot meurt à Paris le [3][4].
Œuvre
Georges Callot est connu pour ses nus et ses sujets allégorique ou de genre[3],[5], et a aussi travaillé comme décorateur.
Les œuvres de Georges Callot sont conservées dans diverses collections publiques, dont celle du musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Châlons-en-Champagne[5] et du musée d'Orsay à Paris[8]. Il a notamment peint La Philosophie (1903) pour l'hôtel de ville de Paris[9].
- Œuvres de Georges Callot
-
L'Enfance d'Orphée (1884), Châlons-en-Champagne, musée des Beaux-Arts et d'Archéologie. -
Portrait de femme ou L'Attente (1886), Paris, musée d'Orsay. -
Sommeil (Salon de 1895), localisation inconnue. -
La Philosophie (1903), hôtel de ville de Paris.
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de la page de Wikipédia en anglais intitulée « Georges Callot » (voir la liste des auteurs).
- ↑ Paris, État civil reconstitué, vue 25/51.
- ↑ Acte de décès à Paris 9e, n° 833, vue 27/31.
- ↑ a b c d et e Thieme-Becker 1911, p. 405.
- ↑ a b et c « La Chronique des arts et de la curiosité », Gazette des beaux-arts, 1903, p. 203 (en ligne).
- ↑ a b et c (en) « Georges Callot », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit
, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787). - ↑ a et b Karel 1992, p. 143.
- ↑ (en) « Académie Delecluse », sur artbiogs.co.uk (consulté le ).
- ↑ « Notice de Georges Callot », sur musée d'Orsay (consulté le ).
- ↑ Jennifer Laurie Shaw, Dream States : Puvis de Chavannes, Modernism, and the Fantasy of France, Yale University Press, (ISBN 978-0-300-08382-8, lire en ligne), p. 228.
Annexes
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- (de) Ulrich Thieme et Felix Becker, « Callot, Georges », dans Allgemeines Lexikon der Bildenden Künstler von der Antike bis zur Gegenwart, vol. 5, Leipzig, E. A. Seemann, (OCLC 23232852, lire en ligne).
. - Dictionnaire Bénézit, vol. II, 1976, p. 464.
- (de) Joachim Busse, Internationales Handbuch aller Maler und Bildhauer des 19. Jahrhunderts : Busse-Verzeichnis, Wiesbaden : Busse, 1977 (ISBN 3-9800062-0-4), p. 195.
- David Karel, « Callot, Georges », dans Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord: peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, Presses Université Laval, , 962 p. (ISBN 9782763772356, lire en ligne), p. 143. .
Liens externes
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